La journée d’action GJ la plus triste de l’histoire du mouvement (16/04/2022 FB Péricles Fred Mens)

Aujourd’hui a probablement sonné le glas de notre cher mouvement, gangrené depuis son origine par les querelles d’ego et les tentatives de récupération politicienne.

Et c’est le bonneteau suprême de la République, l’élection de l’enculé en chef de la fausse démocratie, qui aura eu raison de la plus longue révolte sociale jamais menée dans l’histoire de notre pays.

Un cortège de gilets, en cours de rassemblement, comme un symbole sur la place de la Nation, pavoisé tout de jaune et de tricolore, à l’exception notable de trois drapeaux à têtes de Maures, brandis fièrement par des gilets corses en deuil d’Yvan Colonna, a subi l’attaque frontale d’une centaine de prétendus antifascistes, nervis du mondialiste Soros, allié objectif de Macron, le président fantoche, marionnette de Rothschild et de la bande machiavélique de Davos.

Ce cortège GJ ne faisait que fustiger l’occupant actuel de l’Elysée, appelant le peuple de France à l’évincer sans ménagement du pouvoir, sans pour autant citer un seul instant, par tact unitaire, la candidate qualifiée pour l’affronter au second tour de scrutin présidentiel.

Mais ce positionnement anti-oligarchique et réellement démocratique ne pouvait satisfaire les miliciens en rouge et noir, pour lesquels, visiblement, l’aversion de toute forme de patriotisme français, d’esprit identitaire français prime largement sur la détestation que peut leur inspirer la morgue et le cynisme macroniens.

Des coups ont été assénés à plusieurs camarades gilets, des menaces physiques proférées à l’encontre de Sébastien, le déclarant de la manifestation, et de l’indomptable gilet corse, Dan Lodi.

Un climat délétère, l’intimidation constante de militants antifascistes haineux, la plupart inconnus jusqu’à présent de nos cortèges, apportant la contradiction au sein même de la manif et fermés à tout dialogue, la menace d’une nouvelle attaque sont venus pourrir et assombrir cette journée d’action pourtant très ensoleillée, malgré tout le cœur mis par des gilets « a-partisans », soucieux de faire payer à Manu l’Eborgneur et à lui seul, sur le point d’être reconduit dans ses fonctions de malfaisance, toutes ses exactions.

Quel que soit le sort du grand bonneteau, le 24 avril prochain, le souvenir amer de ce triste épisode viendra plomber de façon durable les relations déjà empreintes de méfiance entre certains gilets peu enclins à ensevelir les clivages idéologiques.

Des masques sont tombés ce samedi 16 avril 2022. Des gilets que l’on croyait attachés à l’idéal démocratique semblent prêts à voler au secours de Macron, non seulement dans la rue, mais aussi jusque dans les urnes, au prétexte insensé d’une menace fasciste qui ne peut faire trembler que des adolescents abusés par la propagande.

Le 24 avril, nous irons tous quand même, bille en tête, sur les Champs, pour exprimer au foutriquet transhumaniste notre colère de le voir « réélu » ou bien notre bonheur d’assister à sa chute vertigineuse dans les poubelles de l’Histoire.

Péricles Fred Mens

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